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Un jeu pour connaître les arbres

L’autre jour, Noé me demandait des cartes sur les arbres pour son activité du jour… Comme je n’avais pas ça en magasin, j’ai farfouillé et j’ai trouvé exactement ce que je voulais, ce super fichier sur le site Ti’Loustics ( cliquez sur le lien si vous voulez le télécharger)

Je n’ai utilisé que les dernières fiches où sur chaque bande on retrouve la silhouette de l’arbre, la feuille, la fleur, le fruit et l’écorce. Je lui ai présenté façon « leçon en trois temps Montessori » (sur sa demande !) :

  • je lui montrai d’abord 3 arbres, on observait ensemble les caractéristiques de chacun, je lui donnais les noms. (premier temps)
  • Puis je lui demandai de me donner … le charme … le frêne … ( deuxième temps)
  • Enfin, troisième temps, c’est lui qui devait me donner le nom de l’arbre.

Puis je faisais la même chose avec trois autres arbres, puis les six arbres ensemble, etc …

Il pouvait aussi y jouer tout seul en plaçant la bonne étiquette nom sous chaque arbre (j’avais écrit le nom derrière la bande pour autocorrection).

Il y a ensuite une étape que nous n’avons pas encore faite : on trouve dans le fichier les mêmes images en plus grand format. On peut les découper et ne jouer qu’avec les silhouettes, les feuilles ou  les fruits … On peut aussi jouer avec toutes les cartes séparément pour essayer de retrouver à quel arbre appartiennent les différents éléments. Nettement plus compliqué !

Puis,  bien évidemment, nous emporterons le jeu lors de balades pour nous aider à identifier des arbres car bien sûr rien ne vaut d’apprendre en vrai, dans la nature ! On pourra aussi ramasser des feuilles par exemple, puis faire un herbier en essayant de déterminer à quel arbre elles appartiennent.

Age au moment de l’activité : Noé, 8 ans

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Vous trouverez d’autres idées d’activités inspirées par les pédagogies alternatives dans mes livres écrits avec Madeleine Deny : le grand guide des pédagogies alternatives , lire et écrire apprendre avec les pédagogies alternatives, compter et calculer apprendre avec les pédagogies alternatives et  mes tout premiers apprentissages avec les pédagogies alternatives !

Puzzle du monde

Comme je vous l’avais déjà dit dans mon article Planisphères et carottes râpées, la géographie a la côte à la maison et les enfants parlent souvent de pays à table en regardant nos cartes ! Noé et Firmin ont donc eu pour leurs anniversaires (à 4 jours d’intervalle !) ce super puzzle du monde de la marque Janod.img_8521

Il y a donc une grande carte cartonnée avec les continents et les noms des pays (bon, c’est pas les mêmes couleurs que chez Montessori mais on peut pas tout avoir …) et les pays aimantés avec des petits dessins illustrant le pays qui se placent sur la carte. Ce qui est un peu dommage mais c’est difficile de faire autrement je pense c’est qu’une pièce de puzzle ne correspond pas toujours à un pays. Pour la Chine, l’Australie, le Brésil on a bien une pièce de puzzle mais la Russie , les Etats Unis ou le Canada par exemple sont découpés en plusieurs parties alors que les pays plus petits sont rassemblés par 2 ou 3.

En tout cas, puzzle adopté par les loulous ! Quand on parle d’un pays, ils le cherchent dans la boîte pour le mettre sur le puzzle, le cherchent aussi sur le planisphère qui est au dessus (c’est le même !). Parfois, ils s’installent pour chercher quelques pays et les installer sur le puzzle. Firmin a un petit faible pour la Mongolie (me demandez pas pourquoi) et pour les pays nordiques (Suède, Finlande, Norvège !).

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Et puis jusqu’à présent on patafixait les cartes postales que l’on recevait sur nos planisphère pour situer les pays, là Baptiste a amélioré le processus en rajoutant des brins de laine. Ca évite de cacher le pays avec la carte !!!

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Adopté aussi par les petits qui suivent la ficelle pour voir où cela se situe exactement ! Et maintenant que Noé commence à savoir lire, il s’amuse à lire le nom des pays ou des villes !

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Pareil pour l’Europe !

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Alors ce matin, ce n’était pas planisphères et carottes râpées mais Europe et tartines de miel … et discussion sur les volcans après avoir repéré l’Etna et la Sicile !

(Ages ou moment de l’activité : Firmin, 3 ans et 1 mois ; Noé, 6 ans et 1 mois)

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Planisphères et carottes râpées

Depuis toujours, nous avons une carte du monde dans notre cuisine (une tradition familiale qui vient de leur papa !). Depuis quelques temps, une grande carte d’Europe est venue rejoindre la carte du monde car nous voulions y tracer les voyages que nous avions faits avec les enfants. On patafixe aussi de temps en temps une carte postale que l’on reçoit ! ( bon, les coquines ont tendance à se détacher mais c’est pas grave !). Mais les grands se sont dits qu’on devrait peut-être mettre des fils de laine pour montrer l’endroit sur le planisphère et placer la carte postale au bout, pour ne pas cacher les pays. Ben oui, ils sont obligés de soulever la carte pour voir la Bretagne ou la Sicile ! On avait aussi déjà utilisé ces planisphères en manipulant les cartes de nomenclature sur les continents du monde que j’avais faites.

Depuis quelques semaines, pas un jour à table sans qu’on ne parle géographie ! Firmin s’exclame régulièrement : « Oh ça c’est Lisgone ! … non … Lisbonne ! » « Et l’Italie ! oui ! c’est l’Italie ! »… Noé et Firmin parlent de ce qu’il y a sur les cartes postales, des voyages qu’on a faits, me demandent le nom de tel pays ou de telle mer. Lors d’une discussion, quand ils entendent parler d’un pays ou d’une ville qu’ils connaissent, ils se précipitent vers la carte pour montrer où c’est ou alors nous demandent… Parfois, Firmin a comme une illumination et retrouve avec enthousiasme le même pays sur les deux cartes, monde et Europe ! Bon, tout ça ça n’accélère pas le repas et les carottes râpées ont tendance à rester un peu plus longtemps dans l’assiette …

Alors c’est tout naturellement qu’ils ont dégotté dans le placard ces puzzles en bois que nous avions depuis bien longtemps (quand Baptiste avait deux ans !) et que j’avais à l’origine achetés pour les prêter à mes élèves ! Et ce fut une révélation pour Firmin qui s’est pris de passion pour ces deux puzzles ! Il arrive maintenant très bien à les faire (la France ça a été un peu plus dur !) et connaît le nom de presque tous les pays et régions ! ( et moi j’ai rien fait, hein, juste répondu à la sempiternelle question : « Et c’est quoi ça ?  » )

Et puis bon, comme vous l’avez noté, mon puzzle de la France est un peu obsolète … Et comme Noé me réclamait à corps et à cris une carte de France, on a imprimé sur internet une carte avec les nouvelles régions, une autre avec les grandes villes et fleuves, et une carte d’Europe avec le relief car on parlait Alpes et Pyrénées ! Une vraie classe de géographie ma cuisine maintenant … Du coup on a aussi placé le globe Montessori pas trop loin …

Ce qui est drôle aussi, c’est qu’ils associent les cartes et les puzzles. Ainsi, on parlait à table de Strasbourg. Noé m’a demandé où c’était, je lui ai dit en Alsace, près de l’Allemagne. Firmin s’est précipité pour aller chercher son puzzle de la France, il a pris l’Alsace et a grimpé sur la chaise en posant la pièce de puzzle au bon endroit sur la carte en criant « c’est la même ! c’est la même !!! ». Il était tout content aussi de repérer la Norvège, la Suède et la Finlande (il les aime bien ces trois pays, je ne sais pas pourquoi ! ) sur les différentes cartes !

Tout ceci me conduit à une petite réflexion. Je n’ai jamais dit à Firmin aujourd’hui on va parler de l’Italie, on va faire telle ou telle activité sur ce thème. L’intérêt est vraiment venu de lui-même. Pourquoi ? Cela m’a fait penser à tous ces pédagogues qui disent qu’une des choses essentielles est l’environnement. C’est vrai que si mes enfants n’avaient pas vu ces cartes affichées forcément ils ne s’y seraient pas intéressés. Un environnement riche est donc bien évidemment porteur. Deuxième chose, ces cartes avaient un lien avec la vie. La vie, ce sont les plus grands qui spontanément utilisent ces cartes lorsqu’ils parlent d’un pays. C’est aussi les voyages que nous avons faits. Ces cartes ont du sens pour Firmin parce qu’il se rappelle bien de Lisbonne où on est allé cet été ! Ca a du sens parce qu’aussi on peut voir où sont allées mamie ou marraine  en voyage ! Et puis bien sûr des connexions se font aussi avec des histoires que l’on a lues qui se passent en Chine ou en Afrique…  avec un restaurant où on  a mangé  indien… avec un ami qui vient du Québec … Et c’est par  tous ces liens que se construisent naturellement les connaissances. Apprentissages autonomes disait John Holt ! Ca me plaît bien moi les apprentissages autonomes !

(Ages au moment de l’activité : Firmin, 2 ans et 11 mois ; Noé, 5 ans et 11 mois)

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Le Roi des Nains

Je vous avais dit dans l’article sur notre séjour à la montagne que nous avions découvert un jeu sympa, le voici ! C’est le roi des nains de Bruno Faidutti aux éditions hello (toujours sans aucun sponsor je vous rappelle sur le blog, offert par leur mamie ! )

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On s’est bien amusé à y jouer et il va rentrer dans nos classiques je pense !

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Il s’agit-il d’un jeu de cartes. Objectif : marquer le plus de points (si si !)

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Ici, pas de trèfle, coeur, pique et carreau mais trois couleurs associées à des personnages : les cartes bleues sont les chevaliers, les  vertes les nains et les rouges les Gobelins.

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Le piment, c’est que le but du jeu change à chaque partie. Par exemple : On gagne 5 points si on remporte exactement 4 plis (pas un de plus, pas un de moins) et rien dans les autres cas ; ou alors, plus quatre points par carte « 3 » et « 4 » dans ses plis ; plus 2 points pour chacun des 4 derniers si on arrive à les avoir ; +1 point par chevalier et -1 point par nain dans ses plis; …

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Il y a trois cartes spéciales pour savoir qui commence, qui peut choisir la mission (sur chaque carte il y en a 2, il faut en choisir une)  et qui distribue la fois d’après.

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Et puis en plus d’autres cartes spéciales : à chaque partie, on en glisse une au hasard dans le jeu pour rajouter un peu de piment et d’imprévu !

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En fait, le principe est à peu près le même que celui du jeu de coeur mais avec plus d’imprévu.OLYMPUS DIGITAL CAMERA (le roi de coeur, avec un jeu de cartes normal :

au premier tour, il faut remporter le plus de plis. + 10 points par pli

puis le tour d’après : le moins de plis (-10 par pli)

puis pas de coeurs (-20 par coeur)

pas de dames (-40 par dame)

pas le roi de coeur (-100)

et à la fin tout à la fois (pas de plis, de coeurs, de dames et de roi de coeur !)

Mais je pense qu’on peut adapter le roi de coeur en s’inspirant du roi des nains et en faisant des petits papiers avec des missions différentes par exemple

La c’est Baptiste qui jubile !

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Et là Baptiste désespéré !

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Un de nos jeux fétiches : « Les colons de Catane, le jeu de cartes »

L’autre jour avec Lison, nous avons fait une partie des colons de Catane (qui est une variante jeu de cartes pour deux personnes du jeu Catane). C’est un jeu que l’on a depuis un bon moment et qu’on aime beaucoup ! Apparemment, il a changé de nom et on peut le trouver maintenant sous le nom : les princes de Catane. Il y a peut être quelques modifications avec ce que je vais vous présenter mais le principe reste le même.

Je vais essayer de vous expliquer en gros la façon d’y jouer !

Le but de jeu : être le premier à avoir douze points de victoire (le petit drapeau rouge que l’on trouve sur certaines cartes).

Bon, c’est bien joli, mais comment ça marche ?

Au début du jeu, chaque joueur dispose de ces cartes disposées ainsi à savoir deux villages reliées par une route (la carte du milieu) et 6 terrains pouvant produire soit de la laine, du minerais, du blé, de la brique, du bois ou de l’or. On tourne la carte de façon a indiqué la quantité possédée (on regarde le petit symbole du bas) : 0,1,2 ou 3.

Comment ça se passe ? Avant chaque tour de jeu, on lance deux dés. Le dé chiffre va indiquer quelle carte va gagner une ressource de plus (là, c’est la trois, donc un minerais de plus) et l’autre dé indique s’il faut piocher une carte, rajouter une ressource supplémentaire, s’il y a une attaque de brigands, …

Ensuite on peut agir : soit acheter une route (pour cela il faut posséder 2 briques et 1 bois que l’on enlève alors de ses ressources en tournant les cartes)…

…si l’on  a déjà une route, on peut acheter un village …

… et donc avoir automatiquement 2 terrains.

On peut aussi construite une ville, carte que l’on posera sur une carte village et qui rapporte 2 points de victoire et permet de construire d’autres choses.

Puis si on le souhaite (et si on a assez de ressources), on peut jouer une ou plusieurs des trois cartes qu’on a en main.

Ce peut-être par exemple un chevalier qui permettra de gagner des tournois contre l’adversaire et/ou d’avoir un pion chevalier noir qui donne aussi un point de victoire.

Il y a des cartes monuments qui ont certaines particularités …

Il y a également des cartes événements que l’on peut jouer pour embêter l’adversaire, gagner des ressources, se défendre …

Quand on a fini de jouer, on pioche pour avoir trois cartes en main et c’est à l’adversaire de jouer, lançant les dés, etc. jusqu’à ce qu’un des joueurs ait 12 points de victoire !

Noé est intéressé mais c’est encore un peu trop compliqué pour lui !

Nous, on aime beaucoup et nous vous le conseillons !

(Age au moment de l’activité : Lison, 11 ans et 5 mois)

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Partons vers l’île Kangourou ! [Voyageons ludique #2]

Voici la suite de notre participation au rendez vous du blog souris maman : Voyageons ludique. Le thème était les îles ! Après avoir fait ensemble le jeu de l’île, nous avons choisi une île que nous pourrions « explorer » et le choix s’est fait très vite ! Il y a quelques temps, Lison, en regardant le planisphère qui trône dans notre cuisine, avait découvert une petite île au sud ouest de l’Australie dont le nom évocateur l’enchantait : l’île Kangourou ! DSC03170

Et quand on réfléchit sur la destination de nos prochaines vacances, elle répond toujours en plaisantant : « on va sur l’ile Kangourou ! ».

Alors nous avons cherché à en savoir plus sur cette fameuse île Kangourou !

Lison a commencé à chercher sur internet, parce que des livres sur l’île Kangourou, on n’en avait pas beaucoup ! Mais pas facile de trouver des renseignements ! DSC03202

On s’est aussi promené dans l’île virtuellement avec Google Maps et c’était très chouette, on avait vraiment l’impression d’y être, entre les vues satellites, les photos associées, le mode « street view » qui permet de se promener sur les routes comme si on y était !

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On a donc vu de superbes paysages et observé que c’était une île où la Nature était reine !

Baptiste a ainsi observé à partir d’une vue satellite l’île dans son ensemble avec ses zones de forêts, ses zones d’habitation, les routes, les plages … Et il a commencé à dessiner une carte de l’île (à main levée, c’est plus rigolo que de décalquer !)

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Là voici :

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Lison a ensuite réalisé une petite fiche avec les renseignements qu’elle a pu trouver.

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Elle s’est beaucoup intéressée aux animaux et elle a eu raison car une des richesses de l’île, c’est vraiment sa faune !

On a été étonné de voir qu’il était interdit d’apporter du miel et des affaires d’apiculteur, mais c’est parce qu’en fait il y a dans cette île une espèce d’abeille rare qu’on ne trouve que là bas, si j’ai bien suivi !

Et puis les grands devaient faire des cartes avec les animaux pour Noé mais la rentrée est arrivée, la 6ème pour Lison, les activités ont repris à fond la caisse … et les grands n’avaient plus une minute à eux …

C’est donc moi qui ai fait des cartes de nomenclature sur les animaux de l’île Kangourou, en reprenant la liste de Lison.

Si ça vous intéresse, voici le fichier pdf des cartes :  animaux ile kangourou. J’ai donc fait des cartes en double pour chaque animal (sur le même modèle que mes cartes de nomenclature pour les paysages du monde par exemple). Le fond est marron parce que c’est la couleur Montessori du continent océanie (comme sur le globe Montessori). Tant qu’à faire. Puis j’ai découpé les cartes : un lot de cartes avec le nom de l’animal, un lot sans le nom et un lot d’étiquettes « noms ». Bon, j’ai eu la flegme de les plastifier, en plus mon imprimante commençait à être à court d’encre, mais bon.

J’ai dans un premier temps donné les deux tas d’images à Noé. La consigne pour lui était de retrouver les images identiques. Fantoche mais ça permet de discuter avec lui, de lui dire les noms des animaux … Et puis il avait mis les étiquettes wallaby et kangourou ensemble, et on a pu chercher les différences ( Vous saviez ? Moi non. En fait le kangourou est vraiment beaucoup plus gros, genre 2 mètres alors que le wallaby est beaucoup plus petit).

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On a discuté aussi des phoques, otaries, lions de mer … (qu’il a pris pour les loups au début ! Et effectivement, ça ressemble vachement à des loups en train d’hurler !).P1000993

Deuxième étape, je lui ai demandé de retrouver le nom de l’animal, comme sur le modèle de l’autre carte.P1000995

Et j’ai été étonnée de voir qu’il était très rapide car il avait déjà repéré l’initiale de quelques mots, et savait très bien que c’était l’étiquette de l’abeille par exemple ! Et puis il essayait de lire un peu pour retrouver !P1010005

Hop, ça va là ! On s’est répété les noms compliqués : échidné, possum, balbuzard ! Ah j’ai appris des trucs moi aussi !

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Bon, on voulait aussi le faire en mémory, mais on n’a pas eu le temps ! Ca sera pour une autre fois !

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(Age au moment de l’activité :Noé 4 ans et 9 mois, Lison, 10 ans et 8 mois, Baptiste, 13 ans et 2 mois)

Activités à la maison

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